La classe ouvrière ne se rend ni en « conclave » ni en réunion de concertation… ELLE IMPOSE LES NEGOCIATIONS PAR LA LUTTE !

La classe ouvrière ne se rend ni en « conclave » ni en réunion de concertation… ELLE IMPOSE LES NEGOCIATIONS PAR LA LUTTE !

La déclaration de politique générale du 1er ministre Bayrou s’s’inscrit dans la même veine que celle de son prédécesseur Barnier, avec 2 milliards d’euros de coupe budgétaire pour les collectivités territoriales. La classe ouvrière va devoir continuer d’accepter de se faire piller les fruits de son travail pour que le patronat et ses valets politiques de la droite du capital, continuent eux de s’engraisser sans fin, avec l’aide de représentants politiques de gauche par des manœuvres grossières, cousues de fil blanc !

Concernant les retraites : La méthode proposée du « conclave », puis transformée en « réunion de concertation », n’a pour objectifs, que de gagner du temps et tromper les travailleurs et travailleuses où il n’y aura au final,  aucune abrogation ni aucune suspension. La fonction de cette manœuvre est d’obtenir avant tout : la résignation des travailleuses et travailleurs !

Le ministre de la Fonction Publique, Laurent Marcangeli continue le massacre pour les fonctionnaires, en confirmant : le gel du point d’indice, le non versement de la GIPA en 2025, déjà effectué en 2024 et la baisse de l’indemnisation des arrêts maladies à hauteur d’une prise en charge de 90% en conservant le jour de carence. Surement, sa façon à lui de traduire concrètement sa phrase de décembre dernier adressée aux fonctionnaires : « Je crois en vous, je vous aime et je souhaite travailler avec vous » !

Vous l’aurez compris, aucun changement de cap politique, pas d’augmentation des salaires, on continue l’hémorragie dans les services publics.

Pour la CGT Ville de Paris, l’abrogation de toutes les contre-réformes concernant les retraites reste indispensable, avec un retour de départ à l’âge de 60 ans maximum pour tous, 55 ans pour la catégorie active et 50 ans pour la catégorie insalubre, de rétablir la GIPA et de maintenir l’indemnisation des arrêts maladie à 100 % en supprimant le jour de carence.

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