Le 18 septembre 2025
Tous en grève : On leur reprend tout !

Austérité aggravée, destruction de notre modèle social, précarité…

Le 8 septembre prochain, la chute de Bayrou et son remplacement par une énième marionnette du Capital ou une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale, ne changerait en rien à la situation désastreuse des travailleuses et des travailleurs !

L’appel citoyen du 10 septembre prochain « Bloquons-tout » est l’expression de colères légitimes d’un pouvoir en place qui n’a plus de légitimité pour imposer ces réformes.
Les projets mortifères de la Macronie seront eux-aussi, toujours à l’ordre du jour !
Nous devons partout imposer la reprise de tous nos conquis sociaux issus du Conseil National de la Résistance et en imposer de nouveaux.

Le mouvement syndical de classe et de masse doit prendre forme dans tous nos secteurs professionnels, par la grève et l’action !

L’unité des travailleuses et travailleurs par leurs convergences, notamment sur le lieu de travail, par la grève interprofessionnelle nationale, articulée à des blocages, des actions offensives, des occupations, des manifestations… doit se concrétiser partout.
Sans nous, l’économie s’effondre !!!

Dans ce contexte social bloquer le pays, c’est préparer la grève massive qui nous permettra de bloquer l’économie.

La Macronie et d’autres prétendent que le pays serait au bord du chaos. Il faudrait agir en urgence pour empêcher que la charge de la dette, qu’ils ont méthodiquement organisée, ne devienne pas un héritage insupportable pour les futures générations.

Elle l’est déjà pour les générations actuelles et nous le réaffirmons haut et fort :
Cette dette n’est pas la nôtre !!!

Face à la colère sociale qui se dessine, ce gouvernement sera prêt à tous les coups tordus et inimaginables pour sauver un capitalisme en crise terminale, notamment, en nous poussant dans la guerre militaire :
Macron en rêve !

Bloquer le pays n’est pas qu’une question de revendications sociales, c’est aussi enrayer cette machine infernale de la « guerre » qui sacrifierait nos enfants. C’est lancer la contre-offensive de notre classe ouvrière pour transformer notre société en profondeur, vers une véritable justice sociale et un véritable partage des richesses, qui répondront à nos besoins sociaux.

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